Chère Coco, chères cousines et cher cousin, et vous tous, ses petits enfants, je partage votre tristesse.
J’ai eu la grande chance d’avoir un Parrain formidable, qui a toujours était très présent tout au long de ma vie, son départ m’attriste énormément.
J’aurais tellement de souvenirs à partager, mais en voici un qui, je ne sais pourquoi, me fait toujours sourire quand j’y repense (et surtout quand je piège un ignorant) :
C’était en fin d’été à Aix, Jean déambulait dans le jardin, s’approchant d’un olivier, il cueille une olive, la mâche et l’avale, sans oublier de recracher le noyau, et me dit : « elles ne sont pas encore tout à fait mures », et moi, pour faire comme Parrain, j’en mets une dans la bouche la croque… et la suite vous l’imaginez…
Tu me manques Parrain, je t’aime.